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mai qui a fait toutes ces modifications ???? c'est bien bravo !
http://ageh eureux.centerb log.net
Par ageheureux, le 29.05.2013
hello, je passe encore ici pour avoir de tes nouvelles ! depuis le temps ...!!!qui peut me répondre ici ?????
Par ageheureux, le 29.05.2013
toujours pas de nouvelle!!!!!!
helloooo ,c'est moooaa ..oui la reinette ,lol! comme il neige un peu!!!
(pa
Par ageheureux, le 31.01.2012
hellooo,me voilà enfin!!! j'avais à faire un long voyage pour vous souhaiter à tous un très joyeux noel ,
Par reinette, le 23.12.2011
je suis vraiment inquiète de ce silence trop long de ta part!!!!!!!!!! http://ageheur eux.centerblog .net
Par ageheureux, le 16.08.2011
· vidéo,diaporama...amitié précieuse
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· Bienvenue sur le blog : Le chemin inachevé
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Date de création : 01.05.2010
Dernière mise à jour :
03.06.2010
46 articles
en cours de réalisation...
en cours de réalisation...
en cours de réalisation...
en cours de réalisation...
en cours de réalisation...
Il faudra patienter un peu mes amis(es).....j'ai des problèmes de santé...
en cours de rélisation....
Il faudra patienter un peu mes amis(es) bonn e soirée..
merci
ici page 12
PROCHAINEMENT la suite.....
voir en attendant les autres pages précédentes .merci
en cours de réalisation...
Parfois je donnais rendez-vous aux filles dans un même endroit. Ce qui me valut bien des critiques… Je les voyais se déchirer à cause de moi. Il est vrai qu’elles se connaissaient entre elle. Quand l’orage se dissipait, je me faisais tout petit. J’étais heureux, Le reste m’importait peu… Je goûtais au plaisir de la vie. Je pensais à ma bien aimée. Que se passait-il ? Il me fallait revenir à la réalité. Je retournais au travail le cœur serré. Mon chef commençait à me faire confiance. Il me dit : Gérard vient ici, branche moi cette boîte de dérivation. Je paniquais. La sueur me brûlait les yeux. Je suivais les câbles où ils allaient. Je pris mon temps, pour ne pas décevoir le chef. J’attendis qu’il s’éloigne pour mettre le courant. Vite, je regardais si la salle de bains fonctionnait. A ma grande surprise, tout marchait. Depuis ce temps là, il me donnait plusieurs petites choses à faire. Les mois passaient vite. Les années également. A dix huit ans, je quittais Bordeaux avec regret, surtout mon chef et mes amis (es). Je devais aller à Paris dans un foyer de jeunes travailleurs dans la banlieue de
Chichy-sous-bois. Parvenu sur les lieux, je demandais mon chemin. Arrivé, se dressait un grand bâtiment avec les mêmes fenêtres. Devant l’entrée, il y avait des jeunes assis fumant la cigarette en bavardant. J’entrais dans le bâtiment. Je me dirigeais vers la réception. On me donnait une clé pour ma chambre et des consignes. Du genre (ne fait pas comme ceux là, ils ne foutent rien).J’étais affranchit. Le lendemain matin, je cherchais du boulot. Je profitais d’aller voir ma bien-aimée à Villejuif. Depuis quelques années que l’on ne c’est point vu, va être une surprise. Pour une surprise elle était de taille. Elle n’était plus là. Je repartis la tête basse en traînant des pieds les mains dans les poches. Je pensais à Bordeaux et à mon chef électricien. Il me disait (va pas tout perdre pour tout gâcher mon p’tit, tu as de l’or dans les mains). Je rentrais au foyer le cœur serré. Une semaine plus tard, je trouvais du travail dans le bâtiment en tant que manœuvre. J’étais soulagé. A la fin du mois il fallait payer le loyer de ma chambre deux cent franc. Le reste était payé par la D A S S. L’ouvrage me plaisait en attendant mieux. Je restais trois mois. L’intérim me trouva un travail dans une usine pour faire de l’entretien en électricité. A Vincennes chez : « Trophie Radiologie ». Le chef était calme, Il fallait vérifier dans les bureaux et dans l’usine si tous les tubes fluos fonctionnaient. Au bout de certains mois je pris de l’assurance. Je maîtrisais. Il y avait de belles femmes. J’avais la côte
Souvent, elles m’appelaient pour vérifier leur machine. Elles étaient bienheureuses de discuter avec un jeune. Moi pareillement. Il m’arrivait de m’attarder sur une machine. Tous les jours après avoir mangé à la cantine de l’usine, on prenait le café dans un bar à côté. Patron, super gentil, il avait beaucoup de client entre onze heures trente à quatorze heures. Une affaire en or. Au dessus de notre usine, il y en avait une autre. Une biscuiterie. Elle fabriquait des madeleines. Ce petit bar, était bien placé. Si bien placé, qu’un jour j’ai fais la connaissance d’une dame. Nos regards se sont croisés sans les quitter. On se souriait. On y va mon p’tit gars, dit mon chef. Je l’ai quitté du regard. Arrivé à l’usine, je me disais : « l’a reverrais-je demain ? » C’était une dame dans la quarantaine. Elle avait un visage que l’on ne peut effacer. Il y avait beaucoup de travail. Le grand patron avait décidé de s’agrandir. Il voulait faire un atelier électronique plus grand, des bureaux et un endroit pour fabriquer des cuves à rayon x pour appareil de radiologie. Tout cechangement me plaisait. Il fallait être polyvalent. Mon chef devait partir en vacances. Il fallait avoir du culot, je savais que je réussirai malgré mon état obstiné de cette femme que j'avais rencontré dans ce bar.
Mon travail consistait à construire une étuve chauffante à régulation pour faire le vide des cuves à rayon x. Il me fallait faire ce prototype à l'aide d'un schéma!!! Le soir, je rentrais au foyer et me documentais sur le sujet. En faîte, ce n'était pas sorcier... Tous les jours après le déjeuner, je me pressais aller boire mon café en espérant la voir... Au bout de quinze jours, je la vis dans mon atelier. J'étais pétrifié, Elle venait vers moi et m'embrassa. Je te cherchais, le patron vaut te voir... Rendez-vous ce soir au bar!!! et elle partit me laissant seul complètement hébété. Il faut avouer que j'étais triste de ne plus la voir. La vie est mystérieuse. Le premier jour que l'on c'était regardé, devait nous réunir un jour ou l'autre... Le temps que je me remettre de cette agréable émotion, je partais d'un pas rassuré. Que voulait-il ce patron que je n'avais jamais vu? Je travaillais dans cette usine depuis une année en tant que interimaire. Je suis ressorti avec un certificat d'embauche. Le soir venu, j'allais au bar prendre un café, et Raymond ( le patron du bar )me demande. " Gérard, on te vois jamais le soir?" "La boîte vient de m'embaucher!!" Hé, bien! dit-il, tournée générale de Gérard!!! " Il ni avait personne, quand soudain la femme entrait. De quoi? dit-elle. Gérard offre sa tournée, il vient d'être embauché. Je dis en cachette à Raymond que je payerai plus tard. T'inquiète beau gosse!!! La femme s'assoie à mes côtés, me pris la main et l'on discutait. J'appris qu'elle s'appelait Geneviève, que c'était une femme seule. Une femme libérée qui profitait de la vie. Elle était contre le mariage. En ricanant, le patron du bar dit: " à ta réussite Gérard !!! " Elle me serra fort la main et m'embrassa discrètement dans le cou. Un doux frisson me parcourut... C'était la première fois que ce phénomène se produisait. J'avais hâte de partir, la situation devenait gênante. Raymond arrivait avec un café et un Porto Blanc pour ma compagne. Une bonne heure s'écoulait, quand je lui dis: " on s'en va? ". Elle m'embrassait et me dit:" Oui, mais je t'accompagne!! ".
Pendant le trajet, je lui dis que j'étais dans un foyer de jeunes travailleurs. Que je faisais partie de la D.A.S.S. Que j'avais fait plusieurs établissements. Que maintenant, j'étais libre... Hé! Lui dis-je: " si on allait boire un verre ". Non, Beau gosse, on va le boire à la maison, tu veux bien? Oui, pardi... A une condition, " ne m'appelle plus beau gosse " mais Gérard ou autre, je t'en supplie, c'est gênant. Je lui fais un bisou au cou. Arrivé à Nation, elle range sa voiture dans un box privé. Elle me faisait visiter son appartement. Génial... A côté de ma piaule, je me disais (quel luxe!!!). On était pas seul. Un chat n'arrêtait pas de miauler en la suivant tout en remuant la queue en se faufilant entre les pieds de Geneviève. Elle était contente, c'était son quart d'heure, les animaux sont charmants. Elle lui donnait à manger. Geneviève revenait avec deux verres et m'embrassait d'une passion si forte, que je ne connaissais pas. L'expérience des personnes de Quarante ans était phénoménale... Elle me demandait en ouvrant son bar: « tu désires quoi mon lapin » donne moi un scotch, je n'ai jamais goûté!!! Je veux bien (me dit-elle) mais boit le doucement. Après l'apéro, je me sentais un peu bizarre... Elle me proposait de passer à table. Je me demandais (((que va penser le gardien du foyer des épinettes)). Au diable ses foyers de brin!!! Il fallait bien que je profite de ma jeunesse, non!!! Après un repas excellent, elle m'invitait à prendre un bon bain. Elle me chouchoutait, me frottait le dos puis au moment de sortir de la baignoire, elle m'embrassait tout en m'essuyant le dos. Puis, passionnément je lui caressais les cheveux. Je passais une nuit inoubliable. J'étais fier de moi!!! Pour la première fois, j'étais un amoureux fou d'elle. La vie continuait son court . J'avais prévenu le gardien du foyer qu'il ne s'inquiète pas de mes absences. L'important était de payer ma chambre. A L'usine, tout se poursuivait normalement.
Quelques mois passèrent à une allure dingue. Parfois je me demandais : Hé, bien mon coco, tu t'es débrouillé comme un vrai petit chef !!! Une intrigue trottinait depuis un certain temps. Depuis que je me suis fais embaucher mon salaire avait baissé. J’avais besoin d’argent pour gâter ma petite princesse. Cependant, je commençais à avoir la bougeotte. La vie d’usine ne me plaisait plus. Je me sentais enfermé. J’avais besoin d’autre chose. De respirer, de m’éloigner de ces odeurs de diluant, des machines qui faisaient un bruit infernal, et qui dégageaient des odeurs d’huiles brûler. Cependant,
Arrivé minuit, on montait doucement sans faire de bruit. On n’avait réussit. Pour ne pas nous mettre en danger, les filles dormaient dans mon lit et moi au sol du côté de ma bien aimée. Je m’endormais heureux la main dans la sienne.
Toute la nuit, je n’ai dormis que d’un œil. L’heure venue, je réveillais ma petite chérie, je lui dis en l’embrassant, (il est l’heure de se lever, ma puce). Sans parler, elle secoua sa copine en lui mettant la main sur la bouche. Pour la toilette, il n’était pas question qu’elle l’a fasse au foyer. Trop dangereux pour nous. On réussi à sortir sans peine. On alla au café du coin pour les filles. Elles se débrouillèrent pour s’arranger au maximum.
Je commandais les chocolats chaux avec tartines beurrées. J’expliquais aux filles où était mon travail. Ma chérie, je voudrais bien rester avec toi, mais il faut que j’aille travailler. Rejoint moi à l’adresse de l’atelier ce soir. En fin de journée, les filles étaient la, m’attendant avec impatience. On partait main dans la main, tout en embrassant vers le foyer. Attendez moi, je reviens ! Je montais les marches de l’escalier à une vitesse d’agile. En même temps que je courai, j’appelais : (Michel) mon pote en criant. Ingénieux, il était rentré de son job. Je lui demande : (écoute Michel, c’est au sujet des filles. Peux-tu téléphoner à ta mère, demande lui si les filles pouvaient venir ce soir, ça m’arrangerai.
Ta mère t’aime bien, elle voudra certainement !).
(Tu sais au foyer c’est hyper dangereux, tu comprends ?).
(Oui, c’est risqué,) me dit-il. Il téléphona, l’a suppliait, jusqu'à que j’entende,(merci maman, je t’embrasse). Michel, vint me voir pour dialoguer avec moi. Gérard, écoute moi bien. Ma mère veut bien, mais juste ce soir et ce week-end, ok ! Maintenant débrouille toi pour les emmener. J’étais confiant pour les filles. Elles pourront passer de bonnes nuits sans crainte. Il me fallait prendre le car direction Andernos les Bains. Dans le car je leur explique, ne faite pas attention au père de Michel, (C’est un ivrogne pas méchant du tout. Allez à la plage, visité la ville. Demain on sera ensemble !). Arrivé chez Madame Lalo, je présentais les filles. En rigolant, je dis en partant (prenez soin d’eux, Madame Lalo. Elle me connaissait admirablement bien, j’étais gentil avec elle. Ma puce m’accompagna au car avec une fierté amoureuse. Le car arriva, elle serra très fort mes mains, m’embrassa passionnément. Je sentis son cœur battre énergiquement. Je montais dans le car le cœur serré. Il s’éloignait. Je la vis agiter ses bras. Je n’avais jamais ressentis un tel sentiment.
En regardant le paysage défilé, je pensais,(j’ai tout de même trouvé le bonheur !). J’étais merveilleusement dans ma peau. Au loin, je voyais Bordeaux, dans cinq minutes je saurai au foyer. La soirée paraissait très longue. Je pensais à ma bien aimée.
Amoureux fou, certes je l’étais. Elle aussi, venir de Villejuif à Bordeaux était un signe de femme amoureuse ! Le lendemain, je partais au boulot, j’avais hâte d’être en fin de journée. J’adorai ce métier, j’avais l’impression d’apprendre rien qu’en regardant mon chef travailler. C’était magique. En somme je m’intéressais. Je commençais à faire des saignées sur les murs. Mettre des gaines dans ces saignées, puis à passer les fils. Evidemment, je ne savais pas trop à quoi correspondait tout cela. Plus tard, mon chef me l’expliquera. En fin d’après midi, je rentrais au foyer prendre ma douche. Je m’habillais convenablement, suivant la mode. Je n’attendais pas Michel, (c’était convenu. Une fois prêt, je décidais de partir voir ma bien aimée. Le voyage fut rapide. Le car arriva à Andernos les bains. Je me dirigeai vers la maison des Lalo. Les filles me virent arriver, elles coururent à ma rencontre en courant. Elles me disent « bonjour » essoufflées, et patati… . Je demande : (Michel est là ?) (Oui, il se prépare, ce soir il nous invite au bal.). C’est chouette ! Dis-je. Arrivant devant la maison, je dis bonjour à Madame Lalo tout en la remerciant. Michel descendait me rejoindre. En attendant le bal, me dit-il, on va au bord de la mer ? (Oui si tu veux). Après tout, je ne pouvais rien dire ! On était ses invités. On partit donc à la plage. Soudain, une bagarre assez violente se déclarait à dix mètres de nous. On partit au Casino à proximité de la bagarre. On nous demanda les papiers. On était mineur. On n’assistait pas, on partait. J’étais énervé pour Françoise de voir ça. Certes, je n’étais pas fier. Ce n’était pas un spectacle à regarder. On s’en va ? Dis-je. On commencer à courir, lorsqu’un fourgon de police s’arrêta. Les gendarmes nous demandes. Vos papiers s’il vous plaît. Michel et moi-même, on présenta nos permissions. Quatre gendarmes allaient arrêter la bagarre et les individus. Les filles n’avaient pas de papiers. Elles montèrent dans le fourgon.
Nous on attendait sur le trottoir. Les gendarmes nous rendirent nos papiers, et gardèrent les filles. Je demande au chef (les filles pourquoi elles ne descendent pas ?) Il me répond (Elles ont fugué de leur foyer). J’étais fou de rage. La colère me prit,(je peux voir les filles ? Je peux les embrasser ?) Il me dit (Non). (Que vont-elles devenir ?) Ne t’inquiète pas mon garçon, quelqu’un viendra les chercher. Les individus étant arrêtés, le fourgon partit. Je fis signe à Françoise de m’écrire et je lui envoyais des bisous par signe. Le moral s’en ressentait pendant quelques mois. Je lui écrivais. Pas de réponse. J’étais dans l’ignorance totale. Que ce passait-il ? Que pouvais-je envisager ? Malheureusement, rien. Les mois passèrent. Je connaissais Bordeaux comme ma poche. Le soir, (en général) le Vendredi, on allait en boîte ou au bal. J’avais un succès fou auprès des filles. Michel (mon pote) en était jaloux. Je m’en amusais. Il m’arrivait d’en avoir plusieurs. Il fallait que je fasse attention.
à suivre...